Song Min Hyuk.

Tadaima Invité desu! Watashi no namae wa Song Min Hyuk desu! Yuumei Sen'taku: Kim Beom

I. « Comme tout être humain, j'ai un nom. »

■ Nom : Song
■ Prénom : Min Hyuk
■ Âge : 19 ans
■ Année : 2ème Année
■ Date & Lieu de naissance : 27/07 à Séoul, Corée du Sud.
■ Orientation sexuelle : Hétérosexuel
■ Origine : Coréenne
■ Nationalité : Coréenne et Japonaise

II. « Je suis un vrai roman, une longue histoire. »

■ Famille : On me répétait souvent que ma famille était l’une des plus belles qui puissent exister, que nous avions tout pour nous. Lorsque des amis venaient chez nous ou lorsque des gens nous croisaient dans la rue, ils se trouvaient tous attendri devant le tableau qu’on leur offrait. Il est vrai que notre famille avait toujours été extrêmement soudée. Je n’étais qu’un gamin mais je ressentais tout l’amour que mes parents nous offraient à moi et mes petits frères. Leurs sincères sourires suffisaient à me rassurer quand il m’arrivait un petit malheur. Nous avions tout et je me considérais comme le plus heureux des gamins Coréens. Mais selon les commodités, à tout bonheur il y a une fin. Aujourd’hui je déteste entendre ces mots-là. Je les méprise et les haïs de tout mon être. Je n’avais que 10 ans et pourtant on me prit l’unique chose qui comptait à mes yeux. Lorsqu’on a que 10 ans et qu’on est autant aimé, la famille représente tout alors quand on nous l’arrache si soudainement il est difficile de l’accepter. Ce jour-là j’ai perdu mes parents, je me souviendrais toute ma vie de ce moment, les images ne voulant pas s’effacer de mon esprit. Tout est allé si vite que sur le coup je n’ai pas compris ce qui nous arrivait. Mes frères pleuraient bruyamment, effrayés par toute l’agitation dans notre maison et moi je regardais tout ses va et vient essayant de comprendre de mes petits yeux ce qui se passait. Bien que je ne l’acceptais pas à l’époque, les faits étaient bel et bien là. Un accident de voiture. Le coup avait été bref. Ils étaient partis nous abandonnant derrière eux. Aujourd’hui mes frères et moi vivons chez notre tante à Tokyo. Ce n’est pas forcément la vie dont je rêvais mais bon quand on n’a pas le choix il faut bien faire avec…

■ Caractère : « J’ai toujours été très joueur. Petit je ne cessais de lancer des défis à tout va ne me préoccupant pas des conséquences. Fonceur, je suis du genre à aller droit au but sans m’arrêter en chemin pour des choses insignifiantes. Quand j’étais gamin cela m’a valu de gros problèmes et surtout de gros bobos. Mais le plaisir que je prenais surtout quand cela concernait mes parents valait bien toutes les peines du monde. Parce que j’étais heureux et que je vivais. Je crois que ce côté-là de ma personnalité ne m’a pas quitté, bien qu’aujourd’hui je ne joue pas aux mêmes jeux qu’avant. Je suis devenu beaucoup plus perfide et sournois que quand j’étais gamin. A présent les pions de mon échiquier sont les femmes et rien d’autres. Quand on grandit, on change, et surtout on prend conscience de plusieurs choses, moi je me suis rendu compte du pouvoir de séduction que je pouvais avoir et surtout du charisme qui se dégageait de ma personne. Alors pourquoi ne pas en profiter ? Salop ou pas pensez ce que vous voulez, je ne fais que me divertir et oublier mon passé dans les bras de ces jolies filles. Je n’ai aucune prétention juste celle d’être moi-même. Que cela vous plaise ou non c’est ainsi. Ou on m’accepte tel que je suis ou on ne m’accepte pas mais de vous à moi je me fous un peu de votre avis. Soit on m’aime soit on me déteste, dans les deux cas c’est du pareil au même car à part mon cercle privé je n’ai d’estime pour personne. Je ne suis pas quelqu’un de très fiable, surtout lorsque cela concerne les relations amoureuses. Je ne sais pas de qui je détiens ce caractère volatile mais c’est quelque chose que je ressens au fond de moi et qui fait partie de moi. C’est un fait je n’arrive pas à me poser. Peut-être par peur ? Ou peut-être que je n’ai pas encore trouvé la bonne personne ? Qui sait. Moi-même je n’ai pas encore les réponses à ces questions-là. Le fait d’avoir perdu mes parents y est peut-être pour quelque chose. Ils n’ont pas eu le temps de m’apprendre comment surmonter les difficultés de la vie ou comment répondre à ces questions existentielles qui nous taraudent l’esprit ne nous laissant pas un seul moment de répit. Peut-être, toujours ces peut-être. Aussi instable que je suis, je peux facilement être doux et calme et la seconde d’après péter un véritable plomb. Je ne suis pas du genre à m’énerver pour un rien mais quand j’explose, j’explose, pire qu’une bombe à retardement me direz-vous. Je ne supporte pas qu’on me prenne pour un abruti ou qu’on se foute de ma gueule. Autre chose qui peut me faire dérailler : la trahison. J’ai un sens très aigu de l’amitié et une conception de la confiance bien fondée. Je suis du genre à me laisser approcher facilement – tout en observant et restant sur mes gardes bien entendu – et parfois il m’arrive même de donner ma confiance à quelqu’un que juge apte à avoir mon intérêt pour lui. Mais si cette personne ose une seule fois me trahir ou me faire du mal, il sera trop tard pour faire machine arrière et dans ces moments-là je suis capable de me montrer la pire des enflures qui puissent exister sur Terre. Aussi facilement j’offre ma confiance, aussi difficilement je la redonne. Après tout n’est-ce pas un peu normal ? Je ne nie pas être un playboy de première, séduisant tout ce qui est de sexe féminin, qui a deux jambes, deux bras, et qui bouge mais au contraire m’affirme et ne le cache pas. J’assume celui que je suis et je serais bien con de ne pas le faire. Ce serait comme affirmer qu’on est une fille alors qu’on est un mec. Un peu illogique vous ne trouvez pas ? Certes je suis un peu narcissique sur les bords et extrêmement sûr de moi ce qui peut me rendre un poil superficiel…mais avouez-le c’est tellement bon de me voir comme ça <3 Vous-même vous le savez, vous avez du mal à me résister.
Chieur ? Assurément ! Je n’hésiterai pas une seule seconde à user de tout mon charme et de tout mes stratagèmes pour vous faire tourner en bourrique et vous poussez à bout. Surtout les jeunes femmes, je trouve une certaine excitation à les rendre chèvre comme on dit ^^ Ca m’amuse mais ce n’est pas bien méchant, je trouve juste qu’une femme en colère n’a rien de plus sexy <3 Autant je peux me montrer clown, déconneur et tout ce que vous voulez, autant je peux être froid et distant, c’est selon mes humeurs et selon mes envies. A cause de ce tempérament assez froid/chaud, certains pensent que je possède une double personnalité et franchement parfois on se poserait des questions à mon sujet. Peut-être suis-je un peu lunatique aussi, qui sait…Ahah toutes leurs suppositions me font bien marrer ! Pour finir, ancrez-vous bien dans la tête que je ferai toujours tout pour arriver à mes fins, en général quand je veux quelque chose je l’ai et je mets tout en œuvre pour y arriver. C’est rare quand quelque chose ou même quelqu’un me résiste…Dans ce cas-là, soit vous avez de la chance et je laisserai couler pour le moment, soit vous êtes malchanceux et vous risquez de vous me coltiner un bon moment ou d’en prendre plein la gueule. C’est à double tranchant avec moi, soit on m’aime soit on me déteste mais même quand on me hait on m’aime quand même. N’est-ce pas ? ^^

N’allez pas non plus croire que je ne suis qu’un salop qui fait mumuse avec les filles sans vraiment s’en préoccuper par derrière. Non j’ai une once d’humanité faut juste aller la chercher bien profond ^^ »

En résumé, Min Hyuk n’est ni gentil, ni méchant bien que la plupart des gens le considèrent comme le pire des enfoirés. Enfin ça on le sait déjà. La plupart du temps, il agira en égoïste et ne pensera qu’à sa petite personne en priorité persuadé que de toute manière il n’est pas capable de prendre soin de quelqu’un d’autre que de lui-même. Malgré tout, il a déjà montré à quel point il pouvait surprendre son entourage quand il s’y mettait sincèrement. De plus, même s’il reste une personne très ambiguë, Min Hyuk a des amis. D’ailleurs c’est quelqu’un de très sociable. Cependant il choisit ses fréquentations en fonction du sexe, de l’argent, du statut et de la personnalité de celle ci.

Il arrive à se faire apprécier des autres tout comme il arrive à ce qu’on le déteste allant jusqu’à l’envie de le faire disparaître de la surface de la terre. Parce qu’il n’a pas envie qu’on s’attache à lui ou qu’on cherche à percer sa carapace, il adopte son attitude froide et distante afin qu’on ne cherche pas trop à se lier à lui. Très certainement aussi car il connaît tout aussi bien ses bons côtés que ses mauvais et qu’il n’a pas envie qu’on se serve de lui à des fins peu gratifiantes ou qu’on se rende compte de ses faiblesses. Quoiqu’il serait très difficile de renverser la balance.

Dans le fond, même si parfois il ne se comprend pas lui-même, il sait qui il est. C’est un jeune homme à qui on a brisé l’enfance brisant tout ses rêves et ses illusions. Il sait qu’à cause de tout ça, il a mal tourné et continue à s’enfoncer dans la mauvaise pente ajoutant la dépravation à ses mauvaises addictions, mais il ne fait rien pour arranger les choses. Il a finit par accepter son sort et ce n’est pas comme s’il n’était pas satisfait…

■ Histoire : POST SUIVANT!

III. « Mourir sans amis, c'est mourir sans témoins. »

■ Phobies : Aussi stupide que cela puisse paraître, le décès de ses parents l'a énormément marqué et maintenant il a peur de perdre ceux qu'il aime. Voilà pourquoi il essaye de ne pas trop se lier aux autres car être abandonné ou les perdre serait catastrophique pour lui et il aurait du mal à s'en remettre. Bien sur il ne laisse personne connaître cette facette de sa personnalité car cela le rend bien trop fragile.
■ Mon secret : Si je vous le dis ce ne serait plus un secret!
■ Groupe : 魅力的 MIRYOKUTEKI BOYS
■ Dortoir : 1er, Le dortoir des arts.
■ Autres précisions : Tout comme ses parents, Min Hyuk a développé une passion pour la poterie et excelle d'ailleurs en la matière ! Mais étant un gros touche à tout (je vous vois d'ici les pervers ce n'est pas ce que vous pensez !) il fait également de la musique et parfois même touche à la peinture et au dessin.
■ Mes relations :

— Conquêtes: Ngoc Suong Tran


Spoiler:

— Amis: (amis)


Spoiler:

IV. « Qui suis-je vraiment, derrière cet écran ? »

■ Surnom & Prénom : Secret 8D
■ Âge : //
■ Présence : Cela dépend mais en général j'essaye de passer au moins une fois par jour.
■ Comment avez vous connu le forum ? Partenariat.
■ Commentaire : Très joli forum sur lequel il me tarde d'évoluer! Sinon pour l'inscription j'ai obtenu l'accord de Shenhua =)
■ Avez-vous lu le règlement ? Where is Brian ? Brian is in the kitchen 8]

■ Histoire :

Tout avait si bien commencé. Une belle famille, une magnifique villa, deux adorables petits frères, des parents aimants, attentionnés et passionnés. Que demander de mieux ? J’avais déjà tout. Qui suis-je ? Song Min Hyuk, un simple gosse parmi tant d’autre sauf que moi j’ai la fierté d’avoir une famille comme celle-là. J’aime mes parents, j’aime mes frères, j’aime notre maison, j’aime notre vie tout simplement. Je n’ai qu’à m’arrêter cinq seconde de jouer et les regarder pour voir leur magnifique sourire embellir mon existence. Mon cœur était chaud, j’étais heureux. A ce moment-là, le malheur, la douleur, la tristesse n’existaient pas pour moi, et quand j’entrevoyais quelques catastrophes dans les journaux, je ne comprenais pas, je ne le pouvais pas, je n’y arrivais pas. Cela me semblait si absurde, à moi pauvre innocent gamin qui vivait dans une telle osmose de bonheur que je ne pouvais concevoir que le mal existe réellement. Les mains de mon père glissèrent sur le morceau d’argile qu’il était en train de façonner et mes yeux suivaient avec attention ses gestes précis et délicats. Ma mère à ses côtés faisait de même et la danse de ses doigts effilés sur la poterie me charmait si bien que je me retrouvais comme envoûtait, incapable de détacher mes yeux de ce sublime spectacle. Je pouvais rester des heures à les regarder ainsi travailler, sans jamais m’ennuyer parce que je savais que lorsqu’ils auraient fini, ils viendraient jouer avec nous et relever mes défis comme nous avions l’habitude de le faire. Certes nous vivions dans une certes monotonie, mais quelques frasques de mes frères et moi venaient rythmer notre vie et la rendaient d’autant plus chaleureuse qu’elle ne l’était déjà. Notre maison était vivante et chaleureuse, remplie de rires et de joie. Je ne connais pas la réelle signification du bonheur, mais je pense que nous n’étions pas loin de son exactitude.

Ce soir-là, nous étions en plein hiver, je regardais, par la fenêtre, les flocons de neige tombant sur le sol, mon front plaqué contre la vitre glacée du salon. Heureusement un feu de cheminée brûlait à l’intérieur venant réchauffer ma peau gelée. Mes yeux grands ouverts ne cessaient d’observer la masse blanche s’écrasant sur les pavés de la terrasse déjà invisibles à mes yeux car entièrement recouverts de neige. J’étais fasciné et ébahi, j’aurai aimé pouvoir me perdre dans l’infinité de cette blancheur. Mes petits frères jouaient autour de moi, courant, riant et criant dans le salon alors qu’ils tournoyaient autour des différents sofas. Notre gouvernante semblait avoir abandonner la course-poursuite bien trop épuisée et âgée pour suivre leur cadence. Elle posa sur moi un regard condescendant m’intimant la gentillesse de les calmer à sa place. Je descendis de mon perchoir et m’installa au milieu du tapis. Attrapant mes frères un à un, je les fis s’asseoir près de moi pour leur raconter une histoire. La maisonnée ainsi apaisée, tout semblait aller pour le mieux. Nous attendions sagement que nos parents reviennent de la ville pour pouvoir nous mettre à table. A ce moment-là, nous ne nous doutions pas une seule seconde qu’ils ne reviendraient jamais…
Nous commencions sérieusement à avoir faim quand quelqu’un vint frapper à notre porte. M’assoupissant contre le canapé, je sursautais et ouvrais les yeux en même temps que mes frères endormis à mes côtés. Je levais vers la gouvernante un regard interrogatif alors que cette dernière allait ouvrir la porte. Je ne compris pas de suite ce qui était en train de se passer mais j’entendis un gros bruit dans l’entrée qui m’alerta. Mes petits frères se mirent à trembler à côté de moi alors que plusieurs personnes débarquaient dans notre salon, toutes vêtues d’habits sombres et inquiétants, des chapeaux bizarres sur leur tête que je n’avais jamais vu avant. Je les regardais apeuré, alors qu’ils posaient sur nous des regards complaisants. Soudain mes yeux divergèrent vers ma gouvernante et je perçus son teint blafard et ses traits tirés. Le silence était pesant et mon esprit fonctionnait à mille à l’heure pour comprendre ce qu’il se passait. Ce fut trop pour notre nurse qui se mit à pleurer déclenchant également un flot de larmes chez mes frères. Que se passait-il donc ? Je commençais à ressentir une étrange sensation au creux de mon estomac, comme si mon corps appréhendait quelque chose que mon esprit se refusait de comprendre. Etait-ce cela le sentiment de peur ? C’était la première fois que je ressentais ce genre de sentiment…
La nouvelle sonna lourdement à mes oreilles. Sur le coup je crus à une mauvaise farce mais tout ces regards posaient sur moi me firent vite changer d’avis. Je n’y croyais pas. Ce n’était pas possible. Impossible même… Ils se trompaient, cela devait être ça. Une malencontreuse erreur. Bientôt papa et maman passeraient le seuil de la porte et nous pourrons enfin dîner tous ensemble comme tous les soirs. Oui voilà c’est ce qui allait arriver. Mais rien de tout cela n’arriva. Et je dus me rendre à l’évidence. Je ne reverrais plus jamais mes parents…

Les jours passèrent et les gens affluaient autour de nous. J’étais bien trop jeune pour comprendre le sens de leur parole, j’étais devenu comme sourd à tout mot qui sortait de leur bouche. Mon corps entier me faisait mal, ma tête, mes jambes, mes bras, mon cœur…Plus rien n’allait. Je n’avais ni faim ni soif ni sommeil, je restais juste là, debout au milieu de mon salon les bras ballants et le regard vide. La suite se passa beaucoup trop vite pour que sur le coup j’eus le temps de saisir. Je ne la compris que plus tard. En peu de temps nous nous sommes, mes frères et moi, retrouvaient dans le terminal d’un aéroport prêt à embarquer dans un avion en direction du Japon après un dernier adieu à notre gouvernante. Et avec encore moins de temps qu’il nous fut pour réaliser, nous nous retrouvions tous les trois, au Japon, dans la maison d’une acariâtre tante japonaise que je détestais déjà.
Les temps ne furent pas faciles pour nous trois. Elle nous détestait cela se voyait même si je ne comprenais pas le pourquoi de cette sévérité envers nous…Je décidai alors de m’occuper moi-même de mes frères vu qu’elle ne semblait pas prête à le faire. Là commença ma douloureuse vie d’adulte et finit mon enfance. Je n’avais que dix ans…

Aujourd’hui je suis le résultat de tant d’années de souffrance où j’ai cherché à me façonner par moi-même, apprenant au jour le jour le quotidien d’un vrai homme, sans l’aide de personne, et m’occupant en même temps de mes deux frères. Ce ne fut pas toujours facile je l’avoue, mais je crois avoir plutôt bien réussi. Je me suis construis tout comme j’ai aidé mes frères à se construire malgré le malheur que nous partagions. Moi qui me juge pourtant incapable de m’occuper des autres, j’avais agis avec eux comme une seconde mère, les protégeant de tout malgré que moi je n’avais plus personne pour me protéger…Ce pays, je ne l’aimais guère, préférant notre belle patrie d’origine. Je détestais aussi l’endroit où nous vivions même si nous n’avions pas le choix. La seule chose qui pouvait m’aider à tenir le coup – et cela je le découvris un peu plus tard quand j’entrai dans l’adolescence – fut la présence des jolies japonaises. Je m’en rendis vite compte et ce moment-là fut comme exhibitoire pour moi. J’avais enfin trouvé quelque chose pour moi dans ce foutu pays. A partir de cet instant commença le véritable changement qui s’opéra en moi. Je compris bien vite l’importance du corps humain et a fortiori celui d’un homme. Je n’étais pas moche, plutôt séduisant même et cet effet semblait bien leur plaire. Elles voulaient me prendre dans leur bras, me caresser, me câliner, me materner…Dans leurs bras je retrouvais toute cette chaleur qui m’avait manqué et me servait de ce prétexte – chercher de l’affection – pour continuer mon manège et jouer avec elle. Petit à petit mon statut de playboy se construit ainsi que mon caractère, j’en étais devenu un sans m’en rendre compte ou plutôt sans vouloir m’en rendre compte. Mais ce rôle me plaisait plutôt bien et me convenait.
J’entrai alors à Ten'pu Ryousei, un lycée strictement masculin - et quel ne fut pas mon bonheur quand quelques temps après j’appris qu’il allait ouvrir ses portes au sexe féminin également ! Décidemment la chance me souriait à nouveau et j’allais pouvoir user de tout mon charme pour conquérir ces nouvelles demoiselles. Ce ne fut pas pour rien que j’intégrai d’ailleurs les Miryokuteki Boys, le clan favorable à leur venue tandis qu’un clan opposé se formait aussi.
Bien bien, après tout cela ne pourrait que pimenter un peu plus le jeu !
Vous êtes prêt ?
Moi oui.
Alors jouons.

Welcome ! (:
&& Good luck pour la suite (^o^)

Irashai' !
Alors, petite mission dont m'a chargé Suong Tran avant de partir en voyage x'D
Elle voulait te dire qu'elle aurait bien aimé avoir ton premier Rp, voilou x'D

Deuh rien ^w^

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Yoo Jin Park a écrit:

Trop chou cte gars !
Welc' même si tu es inscrit avant moi et que j'ai pas encore finis ma fiche
*y court avant de se faire taper sur les doigts*